La même année, Olga Speranskaya est officiellement désignée, à l’unanimité, par les ONG, directrice régionale du Projet international d’élimination des POP pour l’ensemble des pays de l’EECCA. Grâce à sa ténacité, plus de 70 projets de lutte contre les produits chimiques toxiques ont vu le jour. Leur but : déterminer l’impact des polluants persistants sur la santé humaine, faire accepter ce lien de causalité aux autorités, trouver les stocks abandonnés mais aussi identifier et nettoyer -même partiellement- les nombreux lieux contaminés.
Malgré ces remarquables avancées pour tenter d’assainir ces territoires, la scientifique se heurte encore à de nombreux obstacles. « Les entreprises et le gouvernement russes sont totalement insensibles à l’environnement. » La Russie a en effet signé la Convention de Stockholm mais ne l’a toujours pas ratifiée. Le Turkménistan et l’Ouzbékistan n’ont, quant à eux, signé aucun engagement. Pourtant, Olga Speranskaya reste optimiste. « L’environnement est au-delà de toute question politique, dit-elle. Nous devons continuer à travailler pour lutter contre cet héritage pesant et stopper l’hémorragie. Tous ensemble, nous y arriverons ! »
Un commentaire
Ecrire un commentaire
lachaari
pollution desertique
je sui ingenieur d’agriculture
et je regard tous phenomene du pollution
sur tou dans les payer du tiere mond
et dans les zone desertique
et maintenant il faut combattre contre les societe producteur
des pesticides