Même si les surfaces marines protégées ont augmenté ces dernières années, elles ne couvraient que 3,4 % des océans en 2013. Elles permettent de préserver des espèces ou des habitats menacés, et de restaurer des stocks de poissons commerciaux. Même s’ils s’en plaignent parfois, les pêcheurs bénéficient ainsi eux aussi de ces mesures de protection puisque les animaux protégés se multiplient et que leur population augmente ensuite en dehors de la réserve. Dans le cadre de la convention sur la biodiversité, les pays du monde se sont engagés à étendre à 10 % des océans la surface des aires marines protégées. Et à protéger 17 % des surfaces terrestres. Ce sont les objectifs d’Aichi.
Objectif : 10 % d’aires marines protégées en 2020
Paul Watson, l'éco-pirate qui fait des vagues
Le militant écologiste Paul Watson est arrivé en France
Jean Tamalet, avocat de Paul Watson en France : « la mobilisation populaire a été essentielle »
Gérer le consentement
Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
Fonctionnel Toujours activé
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
Préférences
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Statistiques
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
Marketing
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
2 commentaires
Ecrire un commentaire
pelerins
Le rêve d’un côté pour créer des aires marines, mais la triste réalité de l’autre côté, quand la FRANCE brade ses fonds marins en Polynésie française :
En effet, il est scandaleux de laisser un milliardaire chinois avec la bénédiction de l’Etat Français, réaliser en POLYNESIE sur l’atoll HAO, une gigantesque ferme usine, enfermant et entassant à vie mérous et poissons Napoléon, et ce pour l’exportation vers la CHINE.
50 000 tonnes exportés avec 250 000 tonnes de petits poissons requis pour nourrir ces poissons prisonniers.
https://www.goodplanet.info/actualite/2017/08/25/homme-daffaires-chinois-va-investir-15-milliard-de-dollars-poisson-polynesien/#comment-979329
http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/ferme-aquacole-de-hao-des-craintes-et-beaucoup-d-enjeux-253819.html
Le bilan coût/ avantage d’un tel projet démentiel est facile à traduire, en fort coût pour l’environnement et in fine pour la population locale et le tourisme.
Ce ne sont pas les emplois créés qui peuvent justifier la destruction irréversible d’un environnement marin fragile et si diversifié (et si prisé par les plongeurs du monde entier).
Ajoutons le bilan carbone dramatique de ce projet, avec les transports, la destruction des coraux et la pollution de la mer via l’extraction des terres fortement polluées sur l’atoll HAO par le passif militaire.
Il est temps de se mobiliser contre un tel projet, et contre les travaux en cours dans le PACIFIQUE, car ce projet est jusqu’à présent bien caché à la population mondiale.
Ce sanctuaire si riche et paradisiaque ne doit être anéanti par ce projet fou et en revanche doit devenir une aire marine protégée.
En ouvrant son domaine maritime à de telles destructions et aberrations, la FRANCE se départi de sa mission première qui est celle de protéger la mer et les océans.
pelerins
OUI d’un côté le beau rêve des aires marines , mais de l’autre la triste réalité quand on voit la FRANCE brader ses fonds marins en Polynésie française .
En effet , il est scandaleux de laisser un milliardaire chinois avec la bénédiction de l’Etat Français, réaliser en POLYNESIE sur l’atoll HAO, une gigantesque ferme usine, enfermant et entassant à vie mérous et poissons Napoléon, et ce pour l’exportation vers la CHINE.
50 000 tonnes exportées avec 250 000 tonnes de petits poissons à pêcher pour nourrir les poissons prisonniers.
http://la1ere.francetvinfo.fr/polynesie/tahiti/ferme-aquacole-de-hao-des-craintes-et-beaucoup-d-enjeux-253819.html
Le bilan coût/ avantage d’un tel projet démentiel est facile à traduire, en fort coût pour l’environnement et in fine pour la population locale et le tourisme.
Ce ne sont pas les emplois créés qui peuvent justifier la destruction irréversible d’un environnement marin fragile et si diversifié (et si prisé par les plongeurs du monde entier).
Ajoutons le bilan carbone dramatique de ce projet, avec les transports, la destruction des coraux et la pollution de la mer via l’extraction des terres fortement polluées sur l’atoll HAO par le passif militaire.
Il est temps de se mobiliser contre un tel projet, et contre les travaux en cours dans le PACIFIQUE, car ce projet est jusqu’à présent bien caché à la population mondiale.
Ce sanctuaire si riche et paradisiaque ne doit être anéanti par ce projet fou et en revanche doit devenir une aire marine protégée.
En ouvrant son domaine maritime à de telles destructions et aberrations, la FRANCE se départi de sa mission première qui est celle de protéger la mer et les océans.