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1992 : une convention pour le climat

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Parc national des Lençóis Maranhenses, État du Maranhão, Brésil. (2° 32’ S – 43° 07’ W) © Yann Arthus-Bertrand

En 1992, la Convention-cadre des Nations Unies sur les changements climatiques est signée. Elle entre en vigueur en 1994 et constitue la réponse internationale au changement climatique. L’année suivante se tient la première COP (pour conférence des parties). Cette convention encadre les négociations entre les pays avec pour objectif de lutter contre le changement climatique. Elle a donné en 1997 le protocole de Kyoto (COP3), premier accord international sur la question avec des objectifs de réduction et des mécanismes financiers pour y parvenir. Mais, en 2009, lors de la COP15 de Copenhague, la communauté internationale peine à s’accorder sur le devenir du protocole. Finalement, en 2015, suite à la COP21, l’Accord de Paris entérine l’objectif de limiter à 2 degrés Celsius le réchauffement d’ici la fin du siècle.

2 commentaires

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    • Claude COURTY

    Foutaise ! La dimension démographique des problèmes posés n’y a pas seulement été évoquée.

    Or les problèmes qui se posent sont avant tout de cet ordre, s’agissant de partager la misère d’une population mondiale surnuméraire, par rapport aux capacités et à la dégradation de son habitat.

    Tant que rien de sera fait réguler massivement a population mondiale – par la simple dénatalité, que l’éthique se rassure – et par là–même ses besoins et la pollution, tant matérielle que psychique, qui en résulte, la situation de l’humanité entière ne pourra qu’empirer.

    Lire « Précis de pyramidologie sociale ».

  • Bien-sûr la démographie galopante est un grave problème pour la planète particulièrement pour nos écosystèmes et la biodiversité mais cela ne doit pas être un prétexte pour ne rien faire en laisser aller et en s’endormant dans l’eau tiède comme la grenouille d’Al Gorre jusqu’à la mort.

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