Dans le monde, 780 millions de travailleurs et travailleuses ne gagnent pas suffisamment leur vie pour se hisser, eux et leur famille, au-dessus du seuil de pauvreté. Le travail ne suffit pas à sortir de la pauvreté. Au total, au moins 1,4 milliard de personnes occupent un emploi dit vulnérable ou précaire. En éradiquant notamment le travail forcé, les ODD veulent promouvoir le travail décent. L’Organisation Internationale du Travail le définit par le fait qu’un emploi soit productif, rémunérateur, assorti d’une sécurité des revenus et d’une sécurité sociale, effectué dans des conditions salubres et dans le respect des droits fondamentaux des individus. Il participe à l’épanouissement personnel et à l’insertion dans la société. Dans les pays développés, une partie des actifs recherche désormais des métiers qui ont du sens car l’émergence de nouvelles technologies, la prise de conscience écologique ainsi que le sentiment d’exercer des emplois jugés inutiles (qualifiés de « bullshit jobs » par l’anthropologue David Graeber) questionnent la place du travail dans leur vie.
Extrait du livre INSPIRATION[s] sur les Objectifs de Développement Durable et le bio-mimétisme rédigé par la Fondation GoodPlanet l’Institut des Futurs Souhaitables avec le soutien de BNP Paribas Asset Management
Lisez le livre ci-dessous en intégralité.
Un commentaire
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michel CERF
Oui pour un travail décent mais n’oublions pas que l’industrie textile est une calamité environnementale .