Les villes se sont développées pour satisfaire des besoins humains mais contribuent fortement au changement climatique et aux pollutions. L’urbanisation est l’une des premières causes de la disparition de la biodiversité. Pourtant de nouvelles alliances entre villes et écosystèmes sont envisagées dans des approches comme l’économie régénérative ou l’économie symbiotique. L’UICN a défini en 2009 le concept de « solutions fondées sur la nature » visant à intégrer dans la ville des processus naturels pour répondre aux enjeux de société. Des zones végétalisées remplacent le bitume, des espaces agricoles naissent sur les toits, et des zones humides récupèrent les eaux de pluie. Ces espaces génèrent des impacts positifs sur la régulation thermique et sonore des bâtiments, l’épuration des pollutions et la protection contre les événements climatiques extrêmes. Des espèces qui avaient disparu des villes reviennent et ces zones contribuent alors également à la régénération de la biodiversité.
Extrait du livre INSPIRATION[s] sur les Objectifs de Développement Durable et le bio-mimétisme rédigé par la Fondation GoodPlanet l’Institut des Futurs Souhaitables avec le soutien de BNP Paribas Asset Management
Lisez le livre ci-dessous en intégralité.
Un commentaire
Ecrire un commentaire
michel CERF
Verdir les villes est bénéfique pour tout le monde , l’erreur étant de vouloir transférer les citadins à la campagne pour la polluer et la bétonner encore plus .