« Si la vie disparaissait de la Terre, notre planète perdrait son atmosphère et ses océans pour devenir semblable à Mars ou à Vénus ». En 1970, James E. Lovelock formule l’hypothèse que « la biosphère est une entité auto-régulatrice dotée de la capacité de préserver la santé de notre planète en contrôlant l’environnement chimique et physique ». Le nom de Gaïa, la déesse-terre de l’antiquité grecque, a été attribué à cette théorie. Depuis deux siècles, l’humanité provoque des réactions en chaîne en altérant les cycles naturels, mais la Terre trouvera un nouvel équilibre : 3,8 milliards d’années de changements le prouvent. Les scientifiques nous préviennent cependant que le processus de reconfiguration pourrait bien exclure l’humanité de la toile de la vie. La théorie de Gaïa véhicule une vision holistique de la Terre, qui maintiendrait des conditions propices à la vie. Le biomimétisme nous invite à nous inspirer des autres espèces afin de mieux comprendre ces conditions, et mieux les respecter.
Extrait du livre INSPIRATION[s] sur les Objectifs de Développement Durable et le bio-mimétisme rédigé par la Fondation GoodPlanet l’Institut des Futurs Souhaitables avec le soutien de BNP Paribas Asset Management
Lisez le livre ci-dessous en intégralité.
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