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Cohabiter avec le vivant : des cerfs tout près de Londres


Richmond Park, London, England © Mitchell Lewis

Des formes de cohabitation avec les animaux sauvages, y compris certains grands mammifères sont possibles. C’est ce que montre cette photo d’un cerf à Richmond Park à Londres prise par Michelle Lewis, lauréate du prix du public 2021 dans la catégorie incroyable biodiversité au concours organisé par la Fondation du Prince Albert II de Monaco.  La photographe Michelle Lewis explique : « Il faut savoir qu’avec chaque grand groupe de biches, il y a toujours un cerf imposant, surveillant de son regard la harde qui pâture paisiblement. Après avoir regardé si je pouvais apercevoir quelque chose à travers mon appareil photo, j’ai finalement trouvé le cerf, juste derrière, caché sous des fougères mortes. Le plus drôle, c’est qu’il me fixait avec insistance. Il m’avait repéré, sans aucun doute, bien avant que je ne le repère. »

Le cerf élaphe, Cervus elaphus hippelaphus, est le plus grand mammifère sauvage de France. Sa brame résonne dans les forêts en automne. Trop chassé dans le passé, il a été réintroduit, avec succès, dans plusieurs massifs forestiers d’où il avait disparu.

En plus de cette photo, découvrez l’initiative Hommes et faune sauvage de la Fondation du Prince Albert II de Monaco.

Les autres photos de Cohabiter à découvrir sur GoodPlanbet Mag’

Pour en savoir plus sur l’exposition Cohabiter et les autres expos à la Fondation GoodPlanet et consulter les informations utiles à une visite (entrée libre et gratuite du mercredi au dimanche).

La rencontre avec le vivant se poursuit dans les espaces extérieurs du parc de 3,5 hectares qui entourent le Château du Domaine de Longchamp avec « COHABITER. Une exposition du Prix de Photographie Environnementale de la Fondation Prince Albert II de Monaco ». 57 tirages de photographes internationaux offrent un regard sublimé sur la faune et la flore du monde entier. A travers un parcours en trois étapes : une incroyable diversité, un monde fragile et enfin des raisons d’espérer, les visiteurs prennent conscience de la beauté et de la vulnérabilité du monde vivant.

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