L’élevage mondial est responsable de 15 % des émissions de gaz à effet de serre… La solution se trouve peut-être dans nos assiettes !
En France nous consommons aujourd’hui deux fois plus de viande que nos grands-parents, et trois fois plus que nos arrières-grands-parents.
Matthieu Jousset, responsable du programme Action Carbone Solidaire, vous donne quelques pistes pour consommer moins de viande mais de meilleure qualité ! Un changement bénéfique pour votre palais, votre santé et la planète ! ?
4 commentaires
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Michel CERF
Cette vidéo n’incite guère à réduire sérieusement notre consommation de produits animaux .
Meryl Pinque
La solution se trouve D’ABORD dans nos assiettes.
« En ne pointant délibérément pas l’abandon de l’élevage comme solution pour le climat, l’article de novethic « Le classement des meilleures solutions pour le climat » invisibilise le principal facteur d’émission de Gaz à Effet de Serre. »
Source : https://www.apala.fr/lenigme-des-experts-climatiques-face-a-lurgence/?fbclid=IwAR0i6TEFEowygtlZhbQN10CwrlsrcGVMJfWsF5mRRZ3uBoE9Q2KhY2CYTJY
Devenons végan.e.s pour les animaux et la planète (et notre petite santé, et notre survie).
Francis
Les mensonges habituels reviennent encore= produire 1 kg de viande rouge demande au maximum 1000 litres d’eau et non pas 13000. Comme la prétendue « souffrance animale », ce n’est qu’un prétexte pour le racisme anti-paysan. La souffrance animale est par définition contre-productive, la recherche de la productivité incite au contraire à leur donner le meilleur confort de vie. On peut contester des abus commis en élevage intensif de porcs et volailles. En élevage bovin, les normes et le bon sens paysan, qui ne sont pas contradictoires, sont telles qu’il faut vraiment être incompétent pour ne pas les respecter. Ensuite, nos écolos-bien-pensant oublient toujours de condamner l’abattage rituel qui lui, est bien une cause avérée de souffrance animale parfaitement inutile.
Contrairement à la viande blanche, produire de la viande rouge ne nécessite que très peu de céréales et très peu de tourteau de soja. L’ensilage de maïs plante entière est un fourrage qui est une excellente tête d’assolement pour cultiver du blé panifiable l’année suivante. Il n’y a pas de substitution d’autant plus que la diversité d’assolement est indispensable. Même chose avec la betterave sucrière dont le sous-produit, la pulpe, est utilisée depuis deux siècles en alimentation animale. Les bovins, ovins et caprins valorisent les immenses surfaces d’herbe de la planète dont la pauvreté du sol, le relief ou le climat ne permettent pas la mise en culture. Quant à dire qu’il suffirait de boiser ces surfaces, il ne faut pas oublier que le fractionnement des massifs forestiers par des pâturages entretenus reste le seul moyen de lutter contre les incendies de forêts généralisés.
En ce qui concerne l’Inde, s’il est vrai que les Indiens ne mangent pas la viande de leurs vaches, ils boivent leur lait. L’Inde en est le premier pays producteur mondial, leur carence en protéines animales est à relativiser.
Michel CERF
Les élevages intensifs ne concerne pas que les porcs et les volailles mais aussi les bovins , surtout aux Etats-Unis , la consommation excessive de viande rouge nui gravement à la planète et à notre santé , par ailleurs le bon sens paysan n’a pas encore compris que le lait de vache était destiné au veau et non à l’humain qui ruine sa santé en consomment des produits laitiers . tous ces élevages contribuent à la déforestation , ceci est une réalité de même que la souffrance animale dans de nombreux abattoirs . Le racisme anti-paysan est un propos stupide pour se voiler la face et combattre les défenseurs de la nature et d’une agriculture raisonnable et biologique .