Les pandémies mortelles seront de plus en plus nombreuses, si la déforestation ne ralentit pas, alertent les scientifiques.
Des écologistes et des biologistes ont prévu d’alerter la communauté internationale du danger que fait peser la poursuite de la destruction de la biodiversité, lors du sommet des Nations unies sur la biodiversité, qui devrait avoir lieu à New York le mois prochain. The Guardian rapporte qu’ils soulignent le lien entre la destruction des forêts et espaces naturels et l’apparition de pandémies telles que celle du COVID-19, mais aussi du VIH ou d’Ebola.
En effet, la déforestation pour l’exploitation des ressources conduit à la destruction de la végétation et de la faune qui transportent virus et bactéries. Ces derniers peuvent alors se transmettre aux humains qui se trouvent en contact direct avec cette faune ou cette flore.
« Il y a probablement dix fois plus d’espèces différentes de virus que de mammifères », selon Andy Dobson, professeur d’écologie et de biologie évolutionniste à l’université de Princeton. « Les chiffres sont contre nous et l’émergence de nouveaux agents pathogènes est inévitable ».
Un commentaire
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Bjm
Encore une fake news stupide, sana le moindre fondement scientifique. Ce mini article est completement vide de sens …..