Les vautours et autres charognards sont parfois mal-aimés. En se nourrissant des animaux morts, ils nettoient pourtant les écosystèmes et préviennent l’apparition de maladies. Dans la nature, ce qui, pour l’être humain, apparaît comme un déchet se révèle une ressource. Les feuilles mortes qui deviennent de l’humus favorisent la pousse des végétaux. Il en va de même pour nos ordures dont le volume augmente. L’économie circulaire, l’écologie industrielle et l’analyse du cycle de vie des produits (cradle to cradle) cherchent à en faire des ressources. Il faut revoir en profondeur nos modes de production, de consommation et gestion des déchets. Réduire leur volume (tendre vers le zéro déchet, en finir avec le suremballage, vendre en vrac…), les trier puis les retraiter, en faire des ressources utilisables pour produire à nouveau figurent parmi les priorités pour aboutir à la durabilité. Citoyens, entreprises, collectivités et gouvernements sont concernés par ce changement de paradigme qui nécessitera des innovations sociales, technologiques et économiques.
Extrait du livre INSPIRATION[s] sur les Objectifs de Développement Durable et le bio-mimétisme rédigé par la Fondation GoodPlanet l’Institut des Futurs Souhaitables avec le soutien de BNP Paribas Asset Management
Lisez le livre ci-dessous en intégralité.
Un commentaire
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Philippe Cerf
Réduire notre mode de production de consommation, réduction de nos déchets me semble être une évidence on ne devrait plus se poser la question et agir c est une question de bon sens et laissons dame nature respirer et reprendre ses droits.