La préservation de la biodiversité sera un facteur clef dans le succès des ODD. En 2019, les experts mondiaux de l’IPBES (Plateforme intergouvernementale sur la biodiversité et les services écosystémiques) l’affirment : « les tendances négatives actuelles concernant la biodiversité et les écosystèmes vont freiner les progrès en vue d’atteindre les objectifs de développement durable dans 80 % (35 sur 44) des cas où les cibles ont été évaluées. » En effet, l’ampleur de la crise de la biodiversité se répercute sur la pauvreté, la faim, la santé, l’eau, les villes, le climat, les océans et les sols. Car, la nature fournit à l’espèce humaine la plupart des ressources dont elle a besoin pour vivre, se nourrir, s’hydrater, se loger, se chauffer, prendre soin de sa santé, se vêtir ou encore produire… Pourtant, toujours selon l’IPBES : « 1 million d’espèces animales et végétales sont aujourd’hui menacées d’extinction, notamment au cours des prochaines décennies, ce qui n’a jamais eu lieu auparavant dans l’histoire de l’humanité ».
Extrait du livre INSPIRATION[s] sur les Objectifs de Développement Durable et le bio-mimétisme rédigé par la Fondation GoodPlanet l’Institut des Futurs Souhaitables avec le soutien de BNP Paribas Asset Management
Lisez le livre ci-dessous en intégralité.
3 commentaires
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michel CERF
Tout cela est sans doute trop logique pour être compris par nos petits cerveaux .
Jean Grossmann
Pour être franc Michel je me sens un peu seul avec ma Solar Water Economy (SWE).
Concernant la SWE de l’hydrogène mettant en jeu le soleil et le voltaïque je suis peut-être un bien mauvais professeur mais concernant la SWE de l’eau et de l’enthalpie avec l’énergie thermique j’aimerais être regonnu comme celui qui a tenté de faire passer le message. Ceci il faut bien le dire sans y parvenir jusqu’à présent
Méryl Pinque
Tant que même ici, on ne parlera des autres vivants que par rapport à ce qu’ils nous apportent, la situation n’évaluera pas.
La nature et les êtres qui la peuplent ont une valeur per se. On doit les défendre pour eux-mêmes et non parce qu’ils nous sont utiles.