Les océans abritent une riche biodiversité : poissons, phytoplancton, coraux, baleines, algues, crustacés, requins… Nous connaissons 200 000 espèces marines, alors qu’il y en a peut-être cinq fois plus ! Les océans jouent aussi un rôle clef dans la régulation du climat et dans le cycle du carbone en absorbant 30 % du CO2 émis par les activités humaines, atténuant ainsi le réchauffement climatique. L’océan est affecté par la conjugaison de la surpêche, de la pollution, de l’acidification et du réchauffement induit par le changement climatique. La protection de l’océan et l’exploitation durable de ses ressources sont vitales pour l’avenir. Il faut réduire la surpêche et la pollution, protéger les littoraux et les fonds marins. C’est possible grâce aux aires marines protégées qui bénéficient à la bonne santé des océans, donc aux animaux marins, au tourisme et aux pêcheurs. Ces zones protégées recouvrent 8 % des océans, et se situent pour la plupart dans les eaux territoriales. Or, la haute-mer a aussi besoin de protection.
Extrait du livre INSPIRATION[s] sur les Objectifs de Développement Durable et le bio-mimétisme rédigé par la Fondation GoodPlanet l’Institut des Futurs Souhaitables avec le soutien de BNP Paribas Asset Management
Lisez le livre ci-dessous en intégralité.
2 commentaires
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Méryl Pinque
8 %…
Totalement dérisoire.
Méryl Pinque
Les animaux marins ne sont pas des « ressources », mais des personnes appartenant à la communauté morale en vertu de leur sentience.
Il ne s’agit donc pas de « limiter la surpêche », mais d’interdire la pêche en tant qu’elle est le massacre à grande échelle de personnes. Ceci passe par l’adoption par l’humanité d’une alimentation végétale.
Quant à la protection de la nature (ici des océans), elle est un droit fondamental des animaux qui y vivent.