Pour offrir les meilleures expériences, nous utilisons des technologies telles que les cookies pour stocker et/ou accéder aux informations des appareils. Le fait de consentir à ces technologies nous permettra de traiter des données telles que le comportement de navigation ou les ID uniques sur ce site. Le fait de ne pas consentir ou de retirer son consentement peut avoir un effet négatif sur certaines caractéristiques et fonctions.
L’accès ou le stockage technique est strictement nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de permettre l’utilisation d’un service spécifique explicitement demandé par l’abonné ou l’utilisateur, ou dans le seul but d’effectuer la transmission d’une communication sur un réseau de communications électroniques.
L’accès ou le stockage technique est nécessaire dans la finalité d’intérêt légitime de stocker des préférences qui ne sont pas demandées par l’abonné ou l’internaute.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement à des fins statistiques.
Le stockage ou l’accès technique qui est utilisé exclusivement dans des finalités statistiques anonymes. En l’absence d’une assignation à comparaître, d’une conformité volontaire de la part de votre fournisseur d’accès à internet ou d’enregistrements supplémentaires provenant d’une tierce partie, les informations stockées ou extraites à cette seule fin ne peuvent généralement pas être utilisées pour vous identifier.
L’accès ou le stockage technique est nécessaire pour créer des profils d’internautes afin d’envoyer des publicités, ou pour suivre l’utilisateur sur un site web ou sur plusieurs sites web ayant des finalités marketing similaires.
3 commentaires
Ecrire un commentaire
michel CERF
Votre analyse est très juste Cyril , le problème est que la nouvelle génération est née avec un portable dans la main et ne peut s’intéresser au monde animal et végétal , notamment aux oiseaux , aux insectes , la plupart d’entre eux ayant disparus .
Jean Grossmann
Oui vous avez raison Mr Dion il nous faut changer notre rapport au vivant pour imaginer ce que pourrait être le monde d’après. Pour le construire dans le cadre de l’après-coronavirus il va falloir prendre conscience que nous allons devoir laisser de côté le toujours plus.
Ceci par exemple à l’image du chlordécone ce pesticide dangereux utilisé pour accroitre la production bananière en Martinique et Guadeloupe. Notre inconscience a été telle que la rivière qui se jette dans la mer à pollué celle-ci interdisant la pêche à la langouste.
Ceci aussi à l’image. de nos chaînes énergétiques actuelles d’un autre âge que nous allons devoir abandonner dans le cadre de notre transition énergétique pour atténuer le réchauffement climatique au lieu de l’aggraver. Cette transition est envisageable.
Je pense personnellement qu’elle devra se faire dans le cadre de la « Solar Water Economy ». voir
http://www.infoenergie.eu/riv+ener/Introduction.pdf
Et ceci malgré les contraintes temporaires qui vont en resulter. En ecrivant cela je pense a Mr Landovici qui nous a clairement expliqué que l’on ne fait pas d’omelette sans casser les oeufs
DENISE laurent
Dans les rapports du GIEC il est clairement établi que le principal gaz à effet de serre c’est la vapeur d’eau (60% des effets), alors pourquoi ne pas s’occuper en priorité de l’eau ?
Les scientifiques du GIEC n’ont jamais parlé de la vapeur d’eau parce qu’ils sont persuadés que les activités humaines n’ont pas d’impact sur le taux de vapeur d’eau de l’atmosphère, erreur fatale puisque c’est la dé-végétalisation des sols (déforestation) qui coupe le cycle de l’eau sur les continents au moment où on en a le plus besoin : l’été.
L’arbre (le feuillus) est la plante qui transpire le plus l’été (évapotranspiration : 5000m3 à l’hectare et par an), si la vapeur d’eau est le principal gaz à effet de serre il faudrait couper tous les arbres, pourtant on fait exactement l’inverse pour lutter contre le dérèglement climatique ???
L’atmosphère a deux effets indissociables et complémentaires : l’effet de serre et surtout l’effet parasol : l’effet parasol nous protège la journée (sinon la température atteindrait + 150°c) et l’effet de serre nous protège la nuit (sinon la température serait à -168°c). Tenter de réduire l’effet de serre reviendrait à réduire l’effet parasol et entrainerait un réchauffement. Les zones tempérées de la planète sont couvertes d’eau ou de végétation l’été ; dans ces zones le taux d’évaporation, et donc de vapeur d’eau, est proportionnel à la chaleur. Quand le taux de vapeur d’eau augmente la puissance du rayonnement solaire qui arrive jusqu’au sol diminue. L’été quand le taux de vapeur d’eau descend à 20% sur les continents l’énergie qui arrive jusqu’au sol augmente de 50% et les sols « brulent ».
cf https://www.mediaterre.org/actu,20210106085019,1.html