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3 commentaires
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Roger Kantin
Merci Rodolphe Meyer pour cette belle synthèse. On pourrait aussi rajouter la lente disparition des nappes phréatiques, l’apparition de coins salés, la fonte du permafrost avec ses émanations de méthane et le réveil de bactéries ou de virus enfouis depuis la dernière glaciation, les différentes infos transmises par Good Planet sur la fonte des glaciers et des calottes, le Gulf Stream et les autres courants océaniques qui gèrent notre climat, les migrations (humaines) écologiques et économiques, les guerres pour l’eau et les famines, l’inadéquation éventuelle des réponses gouvernementales en cas de crise et j’en passe, notamment sur les chaînes alimentaires dont nous dépendons. On n’arrêtera pas ce processus, et avec la meilleure volonté, on pourra juste le retarder… mais de combien d’années ?
Maitei
C’est une belle présentation simple et enrichissante – mais ce n’est pas une vision intégrale.
Ce qui m’inquiète c’est que de manière générale quand on aborde le changement climatique on évite consciemment ou inconsciemment de parler d’autres facteurs – or il y a très souvent une synergie très forte avec d’autres facteurs qui ne fait qu’accentuer les conséquences du changement climatique et de plus empêche les populations locales et souvent les indigènes de trouver leurs propres réponses, de venir en aide à la civilisation blanche – michael Moore disait: « stupid white men ».
Je vis depuis 30 ans en amérique latine et si il y a une avancée des changements climatiques, il y a peut-être surtout une avancée des entreprises européennes et américaines prêtes à tout, je dis bien à tout – en Afrique, nous avons provoqué des guerres, ici on assassine, on chasse les indigènes de leur territoire… Pour réaliser « des grands projets ». Ces entreprises sont donc prêtes à tout pour alimenter l’Europe, les États-Unis et la Chine en particulier de minerais, de pâte à papier, de céréales… Il est intéressant de noter que comme dans le cas de l’armement, ce sont les mêmes gouvernement et leurs ambassade qui préparent le terrain – C’EST tout simplement HONTEUX!!!
(je le sais parce que j’ai moi-même travaillé dans ma jeunesse dans l’exportation de pièces détachées d’hélicoptère pour l’Irak – la France, le pays des droits humains, n’est pas comme on le dit le troisième ou quatrième pays dans la gendarme, mets le premier si on considère le chiffre par habitant / la France critique les méthodes de Pegasus mais elle utilise exactement les mêmes, j’en suis témoin).
Ce qui est grave et que les médias devraient souligner au lieu de passer sous silence en fragmentant l’information, c’est que les politiques menées contre le changement climatique sont souvent incohérentes et contradictoires, et de plus mensongères: L’Europe a déjà parié sur le tout-électrique pour l’industrie automobile et les trois sources de lithium du monde sont déjà assiégées: La Bolivie, le Pérou et le nord de l’Argentine.
Quelles sont les conséquences? Elles sont énormes, la principale est peut-être non seulement l’expulsion des populations, mais aussi l’appropriation systématique de toutes les réserves d’eau ou leur contamination.
Conséquences:
1. Déboisement / le premier pas de grand travaux et de faire table rase et d’ouvrir des voies de communication gigantesques.
2. Toutes les populations en aval se voient privées d’eau ou reçoivent une eau contaminée.
3. Toutes les initiatives paysannes de reboisement, de reconstruction des sols qui permettent entre autres de limiter le changement climatique sont rendu impossibles – c’est le désespoir, ils finissent tous dans des bidonvilles. Ici en Argentine, ce sont 165.000 exploitations paysannes qui ont disparues ces dernières 15 années.
4. Le choix d’une solution unique, annule tous les efforts planétaires de recherche d’autres solutions – les entreprises ne veulent pas perdre le contrôle du marché et les gouvernements « collaborent » – là aussi il y a du sale boulot. Le LOW TECH peine à avancer face à une concurrence déloyale.
etc.
De nouveau dans nos histoires, ce sont les politiques internationales, qui défendent les grands projets, les grandes entreprises, les grandes banques… « Les grandes civilisations » qui écrasent littéralement et paralysent les efforts constant de ses peuples cherchant à protéger notre mère Terre. PUI, le futur est á la base.
CUSTAUD Pierre
Bravo, excellente vulgarisation. Il faudrait, si possible, poursuivre en expliquant l’origine du CO2, et les conséquences drastiques de l’obligation de réduction sur nos manières de vivre.