L’empreinte carbone du spam

Les 62.000 milliards de courriers électroniques indésirables envoyés en 2008, aussi connus sous le nom de spam, ont contribué à la consommation de 33 milliards de kilowattheures, d’après une étude de la société de sécurité informatique McAfee. Cette étude prend en compte l’énergie nécessaire à l’envoi, la réception, le filtrage et l’élimination de ces messages non sollicités explique le New Scientist du 15 avril. Ces quantités d’énergie équivalent à la combustion de plus de 7 milliards de litres de carburants par un moteur de voiture. « Éliminer le spam à sa source et investir dans des filtres permettront de gagner du temps et de l’argent, la planète y gagnera aussi avec une diminution de son empreinte carbone », déclare Jeff Green qui est le vice-président de la branche développement de produit chez McAfee.

Un commentaire

Ecrire un commentaire

    • Steeve

    une seule solution : la sensibilisation
    Excellent post en tout cas et c’est vraiment intéressant d’obtenir une estimation chiffré des spams et pas seulement sur leur envoi mais également sur leur relais et leur traitement.
    Enfin si plus de gens était sensibilisé à ce phénomène qui est un vrai problème et s’il était moins ignorants là-dessus, on économiserai pas mal de ressource. Car ne nous leurrons pas le point faible dans un système d’information sécurisé (aussi robuste soit-il) c’est l’ignorance de l’utilisateur.
    Moralité : acheter du McAfee?! 😉

Pourquoi la COP29 est « un échec », entretien avec le chercheur CNRS Xavier Arnauld de Sartre

Lire l'article

Le président de la COP29 blame des pays du Nord "inflexibles" pour justifier un accord "imparfait"

Lire l'article