Le niveau des microplastiques et des nanoplastiques présents dans le cerveau a doublé entre 2016 et 2024. Ces matières plastiques sont issues des déchets d’emballages alimentaires, des bouteilles d’eau ou encore de la pollution de l’air, on estime qu’aujourd’hui le cerveau humain contient l’équivalent d’une petite cuillère en plastique. Dans cette vidéo, Universcience explique les problèmes posés par la présence de plastique dans le cerveau humain et donne des pistes de solution comme ne plus boire d’eau en bouteille, limiter les plats transformés et réduire l’usage des plastiques au quotidien. La prolifération du plastique
À lire aussi sur GoodPlanet Mag’
Une nouvelle étude ouvre la voie à une meilleure régulation des microplastiques dans l’eau potable
Pollution chimique et plastique, une nouvelle limite planétaire franchie
Vers un compostage de certains plastiques d’emballage alimentaire ?
3 commentaires
Ecrire un commentaire
Mercier Jean-Pierre Mercier
j’AI voulu publier votre article pour sensibiliser les gens et GOOGLE m’a refusé l’article en prétextant que j’enfrein les règles …incroyable…assez stupide..
Guy J.J.P. Lafond
Un message sans équivoque lancé à l’industrie du plastique et pour notre santé à tous!!
Comme il nous a fallu sortir de l’ère du charbon excessif, comme il nous faut sortir de l’ère du pétrole excessif, il nous faut aussi et maintenant sortir de l’ère du plastique excessif.
Messieurs les juristes, messieurs les industriels, messieurs les chimistes, messieurs les politiciens, messieurs les banquiers, s.v.p.!
Notre passage sur Terre, rappelons-le sans cesse, c’est de bien passer le flambeau à nos enfants!
Guy J.J.P. Lafond
Un monsieur spécialiste de l’éducation des adultes (comme son père l’était d’ailleurs);
Un bon papa aimant et honnête à qui des juges au Canada empêchent de communiquer avec son enfant depuis bientôt huit ans. Ont-ils trop de plastiques dans le cerveau?
dany voltz
Totale inconscience de nos dirigeants. L’argent, la « croissance », les balances commerciales etc, pèsent bien plus lourds que la suppression des plastiques ‘