En 10 ans, les réfrigérateurs consomment en moyenne 25 % d’énergie en moins en Europe. C’est ce qui ressort d’une étude de TopTen soutenue par l’ADEME. TopTen référence les produits électroménagers les plus performants sur le plan de la consommation d’énergie. Pour obtenir ces résultats, TopTen a pris en compte les volumes de ventes des appareils électroménagers. Cette baisse de la consommation électrique s’explique d’abord par le succès de l’étiquette énergie et par la disparition progressive des classes énergétiques les moins performantes. De fait, la part de marché des produits les plus économes s’accroît. « La classe A a été exclue du marché de l’UE entre 2012 / 2014, et depuis la classe A+ domine le marché. Les parts de marché des réfrigérateurs A++ en France et au Portugal sont inférieures à celles au sein de lʼUE (Fig. 1). En Suisse, où l’interdiction de la classe A+ a commencé en 2013, les modèles A++ représentaient plus de 80% des ventes cette année-là. »
Ce succès des frigos de classe A et supérieur s’est accompagné d’une hausse du prix moyen du réfrigérateur de 7 % dans l’Union européenne. Toutefois, en prenant en compte la facture d’électricité, le consommateur réalise des économies. L’étude souligne que « les coûts totaux pour les consommateurs (prix d’achat plus frais d’électricité) ont reculé de 13 %, à 985 euros, entre 2004 et 20149 à travers lʼUE. En France, les coûts totaux ont diminué de 18%, au Portugal de 22%. »
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Oskar Lafontaine
C’est bien évidemment une bonne chose que les réfrigérateurs consomment de moins en moins d’électricité, mais avant tout parce que leur moteur tourne ainsi moins souvent.
En effet la nuisance d’un réfrigérateur ne concerne pas que notre compte en banque, durement touché par nos factures d’électricité, et dont les frigos portent une responsabilité assez lourde.
Cette nuisance concerne aussi le champ électromagnétique généré par le moteur électrique et qui n’est absolument pas neutre biologiquement ainsi que les lobbys de l’électroménager tentent de nous en persuader.
Passer des heures à quelques mètres d’un frigo et en plus passer l’aspirateur, nous expose en effet à leurs puissants champs électromagnétiques, proportionnels à leur puissance en watts.
Le démarrage, puis l’arrêt de ces moteurs est le plus à craindre, car c’est l’entrée puis la sortie du champ électromagnétique qui nous affecte, bien plus que le temps de séjour.Les cellules-souches, une sur plusieurs milliers seulement mais bien plus nombreuses sur un foetus, sont en effet sensibles aux champs électromagnétiques qui affecte leur paroi, et un cancer débute toujours d’une cellule-souche perturbée. Il en résulte une probabilité accrue de développer un cancer, et, pour les femmes enceintes, un risque plus élevé de malformations congénitales touchant préférentiellement le cerveau en constitution du foetus, d’où des cas d’autisme en augmentation, et pire que tout, l’apparition de schizophrénie à l’adolescence avec notamment augmentation des tendances suicidaires, ce qui se retrouve dans les statistiques.De multiples troubles génomiques, ainsi la terrible mucoviscidose, et de multiples maladies génomiques, sont d’abord le résultat d’une exposition de la mère à un champ électromagnétique perturbateur à un moment clef de la gestation, d’où des pertes d’information dans les gènes.
La solution, car il en existe bien une au moins, et économiquement réalisable, serait d’entourer le moteur électrique d’une tôle en mu-métal, alliage fer-nickel, aux grains d’une géométrie spéciale, et qui a la propriété très rare d’atténuer fortement et même de stopper totalement, en fonction de divers facteurs dont son épaisseur, les champs électromagnétiques. Ainsi placée dans une boite en mu-metal, une boussole ne peut plus indiquer le nord.