Dénoncer les crimes environnementaux sans violence. Antoine rejoint Greenpeace en 2011, mobilisé par la cause du nucléaire. Il sait que l’organisation est particulièrement engagée sur ce point mais aime aussi « l’idée que ce soit une association qui n’est pas monothématique mais qui a une démarche globale ». Au départ simplement adhérent et militant, il devient activiste en 2013, décidé à s’engager dans la « désobéissance civile mais non-violente » que prône Greenpeace.
Il participe à de nombreuses actions : déploiements de bannières, préparations logistiques, repérages, investigations, infiltrations sur des sites. « Je mets mon casier judiciaire en jeu à chaque fois que je fais une mission mais on devient si vite pessimiste quand on s’intéresse aux causes environnementales. Être dans l’action, ça permet de positiver la démarche. On fait quelque chose, on lutte ». Fondée en 1971, Greenpeace est aujourd’hui présente dans 55 pays et compte plus de 3 millions d’adhérents et 36 000 bénévoles à travers le monde.
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