"Toutes les mesures un peu autoritaires détruisent le lien social" Il veut en finir avec le modèle écologique actuel, qu'il juge trop punitif. Pour ça, Olivier Blond propose de changer les choses. Voilà comment. pic.twitter.com/QooR0ANhhh
— Brut nature FR (@brutnaturefr) June 1, 2018
« Tout le problème de l’écologie punitive, c’est qu’elle demande des sacrifices », commence Olivier Blond, président de l’association Respire. Des sacrifies qu’il juge pour la plupart « injuste ». Il prend l’exemple du droit de circuler selon sa plaque d’immatriculation quand il y a des pics de pollution : « si ça se trouve vous avez une petite voiture et votre voisin, qui sera autorisé à rouler, en aura une grosse ». Olivier Blond défend par ailleurs un principe : celui du « pollueur-payeur ». Le président de Respire sort un livre, préfacé par Yann Arthus-Bertrand, dans lequel il prône une écologie heureuse, incitative plutôt que punitive.
2 commentaires
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Claude COURTY
Olivier Blond se préoccupe-t-il de démographie ?
S’il ne le fait pas davantage que ses nombreux challengers, alors il a tout faux.
À quoi bon réduire la consommation, ses déchets, la pollution par la production des biens et services nécessaires à sa satisfaction, etc si dans le même temps le nombre de consommateur-producteurs-pollueurs augmente ?
Or ils sont 280 000 supplémentaires chaque jour sur terre, soit près de 100 millions par an, ou la population de la Belgique, de la France et des Pays-Bas réunis !
Tom
Il ne va rien changer du tout, c’est creux. c’est le discours dominant de ceux qui ne veulent rien faire. Il ne sert à rien de lancer des alertes comme le fait son association si c’est pour refuser d’agir contre ce qui nous pourrit la vie comme la pollution de l’air.