A voir ou revoir : « La soif du Monde » de Yann Arthus-Bertrand

Aujourd’hui, dans un contexte de forte croissance de la demande, d’augmentation de la population mondiale et d’aggravation des effets des dérèglements climatiques, l’eau est devenue une des plus précieuses richesses naturelles de notre planète.

Tissé de rencontres et d’images éloquentes, La Soif du Monde explore les différentes problématiques liées à l’eau dans le monde.

Des reportages réalisés en Europe, en Afrique, en Asie et en Amérique donnent la parole à ceux qui s’engagent et innovent, afin d’apporter l’eau où elle manque, l’utiliser plus intelligemment, l’épurer ou mieux encore cesser de la polluer.

2 commentaires

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  • Dépolluer nos rivières et les nappes libres superficielles en communication avec elles voire nos nappes captives profondes n’est pas simple. Ceci d’autant que les polluants peuvent parfois adhérer par capillarité sur les sédiments. Voir
    http://www.infoenergie.eu/riv+ener/LCU_fichiers/RSE-sol.pdf

    Il faudra pourtant se résoudre à le faire un jour et ceci pour une raison simple: notre corps est principalement composé d’eau et nous buvons, selon Pasteur, 90% de nos maladies.

    Le chauffage thermodynamique aquathermique de l’habitat urbain nous donne une opportunité de participer à cette dépollution. Il n’est pas inenvisageable en effet de profiter du circuit hydraulique mis en place afin de prélever l’énergie thermique renouvelable contenue dans nos fleuves et leur nappes libres, voire dans nos aquifères captifs profonds, pour filtrer l’eau polluée prélevée dans ces milieux naturels avant qu’elle n’y retourne un peu plus froide et un peu plus propre.
    Notre sous-sol aquifère en a parfois bien besoin mais cela à un coût : celui des cartouches filtrantes.

    Balendard février 1017

    • Claude Renaud

    A l’attention de GoodPlanet.

    Dans le texte de présentation, toutes les apostrophes sont oubliées. Pourquoi?