Boomforest appelle à restaurer les forêts tous ensemble !


Boomforest favorise la création de forêts urbaines sans entretien, dans tous les milieux y compris urbains.

Ils stimulent le processus de reboisement en utilisant la méthode de plantation Miyawaki. Ces forêts croissent très vite (jusqu’à 1 mètre par an), sont 30 fois plus denses et contiennent une biodiversité 100 fois supérieure aux méthodes classiques de boisement. De plus, ils ont un impact social positif.

Ces mini-forêts peuvent être facilement plantées partout dans n’importe quel type de sol, étant fondées sur la sélection de semences locales spécifiques. Par exemple sur des zones résidentielles, des places entrecroisées, des bâtiments scolaires, des cours d’entreprises et d’usines, des bords de rivières ou des côtes marines.

Par rapport à un bois classique, une forêt Miyawaki est :

30 fois plus dense : la densité est 30 fois supérieure à celle obtenue par une végétalisation classique, ce qui joue un rôle efficace contre la pollution de l’air et de l’eau, en plus d’une barrière sonore et visuelle.

100 fois plus riche : la biodiversité est 100 fois plus importante qu’un bois classique. La végétation locale est sélectionnée pour un minimum de 60 espèces.

10 fois plus rapide : le développement est 10 fois plus rapide, environ 1 mètre par an. Après 2 ou 3 ans, il n’y a plus besoin d’entretien humain, la forêt s’auto-entretient.

Mesurable : l’humidité et la température du sol ainsi que les polluants environnementaux (NOx, CO, CO2, PM10) sont échantillonnés et surveillés et l’impact local effectif de la forêt est mesuré.

Consciente du besoin de végétation à Paris, la team Boomforest a décidé d’appliquer la méthode de reforestation du botaniste japonais Akira Miyawaki pour créer une véritable forêt primaire dans la ville ! Grâce à l’édition 2016 du Budget Participatif de Paris, il leur a été possible d’obtenir le permis de planter dans un talus du Boulevard Périphérique pour créer la forêt.

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Un commentaire

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    • Jannick POUPARD

    Français, Françaises,

    Dès 2019, des paroles beaucoup plus appropriées remplaceront désormais par décret celles du chant guerrier et xénophobe de notre hymne national, tout en conservant cependant l’air bien connu de Rouget de Lisle (bon compositeur mais bien triste parolier) :

    AUX AAARBRES, CITOYENS,
    PLANTEEEZ-EN DES MILLIONS,
    BONS FRUITS, BON AIR,
    SOYEZ-EN SÛRS,
    SAUVERONS LA NATION !

Patrick Criqui, directeur de recherche au CNRS à propos des enjeux de la COP29 : « réduire les émissions de gaz à effet de serre est moins couteux dans les pays du Sud que dans les pays du Nord »

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