Le mini guide de l’Ademe pour rester au frais tout l’été tout en évitant de consommer trop d’énergie !

Logement bas carbone

Logement bas carbone
Pendant l’été, votre logement a souffert des vagues de chaleurs récurrentes. Il est toutefois possible d’adopter des comportements simples mais efficaces pour préserver la fraîcheur dans son foyer.
Aérer au bon moment, brasser l’air efficacement : autant de réflexes pouvant permettre de maintenir une température convenable tout en se passant de climatisation.
Vous trouverez dans ce mini guide réalisé par l’Ademe, de nombreuses astuces pour rester chez vous au frais tout en évitant de consommer trop d’énergie : le guide.

3 commentaires

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  • merci de nous aider en donnant des outils pour lutter contre le réchauffement climatique et participer à un nouveau mode de vie

  • Il faut toutefois comprendre qu’avec les climatisations air air actuelles on réchauffe l’air extérieur pour refroidir l’air intérieur en accentuant en quelque sorte le réchauffement climatique dans les villes. Les dispositifs thermodynamiques qui échangent sur l’eau au lieu d’échanger sur l’air n’ont pas cet inconvénient. Un avantage qui vient en complément des quelques avantages évoqués à la page 87 du fichier ci-dessous
    https://www.dropbox.com/s/8qx239tfez1wdhu/Epub.pdf?dl=0

    Il faut savoir que dans leur version les plus élaborés ces dispositifs de climatisation peuvent aussi en inversant les fonctions assurées par le condenseur et l’évaporateur réchauffer l’air intérieur en refroidissant l’air
    extérieur. Voir page 84 du même fichier.

    Lorsque l’on est dans cette configuration de marche la puissance électrique en mode chauffage est le 1/3 de la puissance thermique utile. Ceci par le fait que ces dispositifs de chauffe thermodynamique air air réversibles ont un COP voisin de 3. Performance à comparer avec l’effet joule et son COP de 1 avec une puissance électrique consommée égale à la puissance thermique utile.

    Il faut aussi comprendre que lorsqu’on veux régler 20 degrés à l’intérieur d’un logement alors fait 0 degrés à l’extérieur la puissance de chauffe est deux fois plus importante que la puissance de climatisation lorsqu’il fait 35 degrés à l’extérieur et que l’on veux régler 25 degrés à l’intérieur.

    Compte tenu de la température intérieure du corps de 37°C il faut aussi observer que le risque de mourir de froid semble plus grand que celui de mourir de chaud compte tenu du fait que la différence entre la température intérieur du corps et l’ambiance est de 2°C dans le premier cas et de 37°C dans le 2ème cas. Et ceci particulièrement si l’on suit les conseils de l’Ademe

  • La climatisation devrait être interdite aussi longtemps que la boucle de circulation d’eau chaude sanitaire n’est pas arrêtée dans un bâtiment : on utilise de l’énergie pour introduire des calories dans le bâtiment via la boucle de circulation d’eau chaude sanitaire et en même temps on utilise de l’énergie pour retirer ces calories via la climatisation. Une double consommation d’énergie pour un résultat NULL, avant de commencer à refroidir la pièce avec la climatisation.
    Dans une maison de 300 m², pour maintenir la boucle d’eau chaude à la bonne température, les valeurs mesurées aux USA montrent 10 à 20 KWh/jour.
    Il est probable que dans les bâtiments de l’ ADEME, comme dans les autres bâtiments publics et beaucoup de grosses maisons, on dépense +/- 10 KWh/jour pour maintenir la boucle d’eau chaude à 60°C et +/- la même chose pour retirer ces calories du bâtiment, tout cela seulement pour permettre à ceux qui souhaitent se laver les mains de ne pas attendre trop longtemps pour l’eau chaude.
    Il existe des solutions qui permettent d’accéder à l’eau chaude plus vite qu’avec un bouclage mais SANS AUCUN GASPILLAGE D’EAU NI D’ENERGIE (http://www.wesavings.eu) mais on me déclare que le marché n’est pas encore mature pour ces solutions, l’énergie est encore si bon marché !!!
    A ceux qui ne me croient pas, je demande de vérifier où se trouve l’interrupteur qui permet d’arrêter le bouclage de l’eau chaude sanitaire (en général il n’y en a pas !) et de mesurer le nombre des calories émises par la boucle d’eau chaude. On peut effectuer cette mesure pour quelques dizaines d’euros, avec un compteur d’eau placé sur le retour de la boucle et un thermomètre à chaque extrémité de la boucle. J’ai déjà demandé ces chiffres à l’Ademe, mais sans obtenir aucune réponse de leur part.

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