Pendant des décennies, la vallée des fleuves Apurimac, Ene et Mantaro (Vraem, centre), une région montagneuse et boisée, n’a connu que la culture de la feuille de coca, ingrédient de base de la cocaïne, et la violence : presque toute la production de feuilles de coca – traditionnellement mastiquées et infusées dans les Andes pour lutter notamment contre la fatigue – est destinée au narcotrafic.
Désormais, elle mise sur le cacao et le café pour tourner la page. En tournant le dos à cette culture, les agriculteurs font aussi un choix légal et plus durable.
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Un commentaire
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Dany Voltzenlogel
Voilà une excellente nouvelle.
Va-t-elle se concrétiser ?
… Tout en préservant les traditions anciennes de culture et d’utilisation de la feuille de coca qui a des vertus thérapeutiques et naturopathes incontestables et qui n’ont rien à voir avec la cocaïne.
La variété de plante étant significativement différente pour l’une et l’autre utilisation.