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Rencontre & échange avec Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France


Venez à la rencontre de Lamya Essemlali, Présidente de Sea Shepherd France, lors d’un grand entretien exclusif à la Fondation GoodPlanet, samedi 31 mars à 16h30 !

Militante écologiste engagée pour la protection de la biodiversité marine, elle reviendra sur les missions menées par la plus célèbre des ONG pirates et sur ses combats ardents pour la préservation des océans et de ses habitants.

Fondée en 1977 par le Capitaine Paul Watson, SEA SHEPHERD est l’organisation de protection des océans la plus activiste et la plus déterminée au monde. Le crédo de SEA SHEPHERD n’est pas la simple protestation et documentation mais bien l’intervention directe contre les atteintes et la destruction illégale de la vie et des habitats marins.

Lamya Essemlali est, depuis 2008, la fondatrice et présidente de l’association Sea Shepherd France, antenne française de l’ONG Sea Shepherd Conservation Society. Elle est également l’auteur de l’ouvrage Capitaine Paul Watson, entretien avec un pirate, paru en 2012. Dans ce livre elle confie l’homme de l’intérieur, son caractère réel, ses réflexions profondes… Avant qu’elle participe à sa première campagne, Watson lui a demandé si elle était prête à risquer sa vie pour une baleine..? Depuis, elle a fait sept campagnes.

Notre journaliste Julien Leprovost a interviewé en 2010  Lamya Essemlali

>  En mer contre la « non-assistance à espèce en danger » <

 

Retrouvez toute la programmation de l’événement « Poisson d’avril ? »

Signez la pétition « STOPPONS LE MASSACRE DES DAUPHINS EN FRANCE ! »

Sea Shepherd demande à la suite de cette pétition 4 mesures concrètes pour que nos enfants puissent encore voir des dauphins en France demain :

1. L’interdiction de la pêche au chalut sur les zones de frayères du bar et sur toute zone identifiée par les scientifiques comme abritant une importante concentration de cétacés.

2. L’obligation pour tous les navires dont les méthodes de pêche ont été identifies comme à risque pour les cétacés d’être équipés de moyens de repulsion acoustiques (pingers)

3. La nomination de PELAGIS ou d’un autre observatoire scientifique comme organisme habilité à recevoir les déclarations de captures de cétacés

4. La refonte du programme OBSMER pour lui donner un caractère obligatoire tout en s’assurant que les observateurs embarqués puissent travailler efficacement et sans menaces de représailles.

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