Les pics de pollution font souvent parler d’eux, or comme le rappelle Amélie Fritz, ingénieure à AirParif, « les épisodes de pollution ne sont que la face visible de l’iceberg. Le gros de la problématique, c’est ce que l’on respire au quotidien ».
Les mesures prises en réaction à ces pics de pollution doivent davantage s’inscrire dans une pratique de long terme car ils trouvent leur origine dans nos comportements journaliers.
Pour prévenir leur apparition, nous pouvons d’abord améliorer la qualité de l’air au quotidien, c’est-à-dire privilégier les modes de transport doux (marche, vélo) et en commun – certains services de transports comme la RATP proposant des tarifs très réduits avec des « pass antipollution » – l’utilisation d’énergies vertes, faire attention aux produits d’entretien que l’on utilise, limiter sa consommation d’emballage ou encore (et pas des moindre) consommer des produits de saison.
Un commentaire
Ecrire un commentaire
NKM c'est le diesel
Et encore de grosses bêtises d’Airparif… Encourager les gens à prendre le métro alors qu’Airparif sait depuis des années que la pollution notamment aux particules fines y est très supérieure à la pollution de surface laisse rêveur.
Le rôle d’Airparif devrait plutôt de convaincre la RATP d’installer des filtres à air au niveau de ses ventilateurs, que ce soit pour l’air insufflé dans les stations que pour l’air ensuite rejeté à l’extérieur à hauteur de respiration – allez voir Place Blanche… – par ses 300 bouches d’aération non filtrées à 60M3/s (métro) ou 90M3/s…