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Visite du Dalaï Lama à l’école bioclimatique au Ladakh (Inde)


© Raphaël Pougnard
© Raphaël Pougnard

En Inde, la généralisation de la scolarisation et l’accroissement des capacités d’accueil des élèves dans les régions isolées sont de véritables enjeux.

Dans certaines régions peu peuplés et à faibles ressources, le besoin en structures adaptées se fait cruellement sentir. C’est le cas du Ladakh, une province située en zone himalayenne, au nord de l’Inde. Le climat y est très rude, froid l’hiver (jusqu’à -30°C) et très chaud l’été, venteux et aride.

Dans cette région, a été construit l’école bioclimatique de Shey Lamdon. Située 3 600 mètres d’altitude dans le village de Shey, cette école comptabilise aujourd’hui plus de 225 élèves, âgés de 4 à 14 ans, pour la plupart pensionnaires. En raison d’un accroissement de sa fréquentation, la Fondation GoodPlanet et ses partenaires ont décidé de soutenir le projet d’écoconstruction d’un internat pour permettre d’accueillir 30 jeunes élèves.

Pour le lancement de ce chantier, le Dalaï Lama est venu en personne visiter l’école et rencontrer les enseignants ainsi que les élèves. Lors de son discours, il a rappelé l’importance de l’accès à l’éducation qui permet aux enfants de se libérer de la pauvreté et de réduire leur exposition à l’exploitation.

Un projet réalisé avec le soutien de la  Fondation Claire et François pour l’Enfance et l’entreprise Blachère Illumination.

>> En savoir plus sur les écoles bioclimatiques en Inde : http://www.goodplanet.org/action-carbone/ecoles-bioclimatiques/asie/

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    • france

    A faire suivre en Inde et aux boudhistes pour obtenir leurs avis sur ces idées à diffuser dans les universités de la planète :

    http://www.michelledastier.com/un-discours-de-vladimir-poutine-lucide/#more-17964

    Voici des idées pour réduire les tensions entre la Russie et l’Ukraine :

    La mécanique des tensions en Ukraine est connue : les américains ont fabriqué le bouclier antimissiles qu’ils louent de force aux européens et Bruxelles paye un « loyer » à Washington pour « bénéficier » de la protection du bouclier sauveur. Ces flux financiers européo-américains transitent peut-être avec des niveaux de confidentialités élevés en se fondant sur le secret défense stratégique, en tout cas, il n’y a aucune publicité des fons européens dédiés à la Défense et à la stratégie en général; les Etats membres payent Bruxelles et Bruxelles dépense à l’insu des simples citoyens européens. Les citoyens américains ont l’habitude de l’invisibilité des budgets américains pour la Défense : les lois américaines correspondantes ont-elles été adoptées par Bruxelles pour transposer en Europe ce dévoiement démocratique qui masque les budgets ? Les organismes américains qui ont investi dans le bouclier antimissiles se partagent discrètement la monnaie des européens et ils ont peut-être de actionnaires comme les membres du conseil de l’Europe devenus financièrement intéressés à exciter la Russie pour qu’elle fasse « Bouh » aux européens qui sont obligés de payer le « loyer » aux états unis « protecteurs » face au méchant russe. Un genre de racket géo-politique.
    Dieu va créer un précipice autour de ceux qui nous entourent d’un précipice. De plus, Washington doit revoir sa stratégie de protection : quel bouclier contre l’islamisation que l’Administration Obama impose à l’Europe ?

    Économiquement, les Fonds de pension américains ont peut-être investi dans le bouclier antimissiles et le « loyer » payé par l’Europe garantira le versement des retraites aux américains. S’ils ont pris en otage le système des retraites pour justifier la guerre, les sanctions divines vont tomber.

    Pour payer les retraites des américains, Washington aurait pu lancer des appels d’offre pour financer les milliers de ponts interdits aux Etats Unis faute d’entretien car le Trésor américain a donné la richesse américaine aux majors de Wall street qui n’ont cure de réinvestir dans les infrastructures fédérales et nationales américaines.

    Imaginons que la Ville de Bordeaux finance la reconstruction de 10 ponts américains et que la créance soit partagée entre le Trésor fédéral américain, l’Etat américain où se trouve le pont, les villes américaines dans cet Etat qui utilisent ce pont. Ces trois créanciers rembourseraient la ville de Bordeaux sur 30 ans, ce mécanisme permet une longévité des opérations financières qui est aussi longue que le bouclier antimissiles, donc de nature à sécuriser le financement des retraites en adossant les Fonds de pension aux opérations de rétablissement des infrastructures américaines, souvent vétustes et obsolètes. Il serait même possible d’ajouter un 4ème créancier américain : les entreprises utilisent les ponts pour leur fonctionnement, donc pour s’enrichir, si les ponts ne sont pas entretenus, c’est que de nombreuses entreprises sont exonérées d’impôts sur le sol américain. Les entreprises américaines exonérées d’impôts doivent payer une cotisation à un Fonds fédéral créé pour la restauration des infrastructures vétustes et obsolètes et ce Fonds fédéral payera une partie de la créance à la ville de Bordeaux qui a financé le reconstruction des ponts routiers et ferroviaires vétustes.

    C’est ce que ne comprennent pas les économistes libéraux américains : les thèses de Keynes sont faites pour que l’Etat emprunte en vue d’investir dans des infrastructures qui permettront au pays de produire de la richesse; avec Keynes, l’Etat crée les conditions de la production de richesse. Mais les libéraux américains ont dévoyé cette thèse et l’Etat américain emprunte pour financer l’économie de consommation, c’est à dire une activité économiquement plus éphémère que les infrastructures : routes, ponts, barrages, centrales électrique, égouts urbains, dépollution des fleuves, des terres, …

    Par nature l’économie de consommation se transforme, se dégrade (on mange, on consomme) sur une durée brève, les économistes pourraient travailler avec des physiciens pour recadrer les thèses économiques de Keynes avec les lois physiques de la dégradation des systèmes, par exemple l’entropie : S= k Log Wx (http://webinet.cafe-sciences.org/articles/au-fait-cest-quoi-lentropie). Si leurs travaux aboutissent à privilégier les emprunts d’Etat pour les cas d’opérations structurantes dans la longue durée : ouvrages d’architectures, lignes hautes tensions, tunnels, …, les Etats Unis devront créer une politique de reconstruction des infrastructures intérieures du pays avec ces principes.

    A noter que Dieu a fait que la Création se renouvelle puisque les fruits et les légumes repoussent après la cueillette. Ces séquences de cueillettes – consommation – refabrication, perturbent les théories du chaos des physiciens qui postulent que l’univers est fini et se transforme indéfiniment. Dieu a fait que la Création se reconstruit. Ces « fabrications successives » pour les physiciens, ces « récoltes à consommer » pour les économistes, renversent une partie des lois de l’entropie car il y a une régénération naturelle des matières premières qui alimenteront l’économie de consommation. Non, le chaos du point de vue de la Création voulue par le Créateur n’est pas une dégradation permanente de la nature, de l’univers. C’est la quantité incalculable des paramètres physiques qui donne une impression chaotique mais quand ce chaos aboutit à la régénération, c’est qu’il y a une loi cachée à trouver pour que les scientifiques appliquent cette loi à l’univers et pas seulement aux récoltes des fruits et légumes.

    Lorsque M. Keynes dit que les Etats peuvent emprunter pour réaliser des infrastructures propices au développement de la Nation, il indique, peut-être intuitivement, que l’Etat gère un temps plus long que l’individu seul ou que l’entreprise économique. Ces deux groupes au sein de la Nation ayant par nature une vision plus restreinte, à court terme. L’organe en charge de la survie collective : l’Etat, doit financer les infrastructures utiles aux composants de la Nation. Il y a dans la pensée économiste de M. Keynes des éléments récents découverts en génétique : l’individu seul s’épanouit dans un groupe plus vaste quand il a conscience d’être utile à ce groupe. Des scientifiques disent que ce sont d’abord les gênes qui sont altruistes avant que ça ne devienne une valeur morale. Ces programmations génétiques, pour ceux qui aiment Dieu, ne sont pas surprenantes : le Créateur a mis l’amour dans la nature même de sa créature.

    Ceux qui veulent détruire la capacité naturelle des fruits et légumes à repousser d’eux mêmes à chaque récolte, c’est à dire les multinationales qui veulent produire des nourritures génétiques avec des noyaux stériles brisent la régénération voulue par le Créateur, brisent la capacité de la nature à se refabriquer, ils augmentent les lois de l’entropie en créant une dégradation artificielle des paramètres physiques conçus pour se régénérer.