La Banque Mondiale estime, dans un récent rapport, que le changement climatique menace de déplacer 140 millions dans le monde d’ici 2050. Confrontées aux aléas du climat (sécheresses, innovations…), ces personnes partiront de chez elles pour s’installer ailleurs dans leur pays, ce qui peut créer des troubles mais aussi de nombreuses opportunités. L’institution rappelle néanmoins qu’il est encore possible d’agir : » il est encore temps d’éviter le pire : le nombre de migrants climatiques internes pourrait être réduit de 80 % (soit 100 millions de personnes) si la communauté internationale intensifie ses efforts de réduction des émissions de gaz à effet de serre et que les pays se dotent de plans de développement solides. »
Elle propose aussi 3 portraits de migrants climatiques en Éthiopie, au Mexique et au Bangladesh.
Éthiopie : Adopter des politiques rationnelles qui soutiennent les migrants climatiques
Mexique : Aider les populations à faire face au changement climatique
Bangladesh : Inclusion des migrants climatiques par l’éducation et l’emploi
2 commentaires
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Jean Grossmann
voir
http://infoenergie.eu/riv+ener/constitution.htm
OUEDRAOGO S Corentin
Dans les pays comme le Burkina Faso, les populations seront face aux sécheresses et inondations. Dans les villes comme Ouagadougou certaines personnes ont occupées des zones inondables. Par conséquent, je voudrais inviter l’ensemble des acteurs de ne pas attendre les évènements avant d’agir, il faut tenir un langage de vérité aux populations des pays pauvres que le changement climatique n’est pas provoqué seulement par les pays développés mais ils contribuent par les actions de dégradations du couvert végétal (démographie, insuffisance d’initiatives de préservations des forêts, etc.) Pourquoi on a des problèmes pour préserver les forêts que le colon à léguer à des pays comme le Burkina?