En une vingtaine de minutes, ce reportage d’Arte s’arête sur l’exemple du Chili qui investit dans le solaire pour rattraper son retard dans les énergies renouvelables. L’objectif est que le soleil et le vent fournissent 80 % de l’électricité du pays en 2050. Ce pays d’Amérique du Sud profite du désert d’Atacama et de son ensoleillement pour installer de gigantesques parcs photovoltaïques. Un défi technique en raison des conditions climatiques (fortes chaleurs) et de la poussière. L’État investit dans se secteur, forme les jeunes (lycéens et étudiants) et voit dans cette transition une opportunité de développement, d’économie et de recherches et d’innovations dans les voitures solaires, l’agriculture au goutte à goutte… Dès 2018, le métro de Santiago fonctionnera grâce aux panneaux solaires du désert d’Atacama, pour ce faire l’État a investi 500 millions d’euros. Actuellement, la facture de courant du métro est de 100 millions d’euros par an, elle devrait passer sous les 30 millions grâce aux recours aux énergies ren,renouvelables.
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Véronique Le Bras
Adelante Chili ! En France nous sommes à la traine et pourquoi ?