Les vacances d’été approchent. Certains ont déjà leurs billets pour un voyage à l’autre bout du monde ou simplement un aller-retour dans une région autre que la leur pour s’évader. Le tourisme, à l’échelle mondiale, représente 8% des émissions de gaz à effet de serre. Une récente étude le prouve. Cette dernière prend en compte l’impact des transports – l’avion étant le pire – la restauration sur place, l’hébergement, l’achat de souvenirs… Le chiffre de 8% devrait croitre encore. En effet, le tourisme mondial augmente de 4% chaque année. Parmi les plus gros pollueurs, on retrouve les pays les plus riches et/ou les plus nombreux. Ainsi, en tête du classement trônent les États-Unis, suivis par la Chine, l’Allemagne ou encore le Mexique. Des solutions existent. Il est possible de voyager tout en limitant son emprunte écologique. Pour cela, il faut par exemple privilégier le train sur l’avion. Autre piste, choisir des hébergements éco-responsables, impliqués dans des projets d’avenir locaux.
Le tourisme mondial représente 8% des émissions de gaz à effet de serre
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4 commentaires
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Claude Courty
L’humanité ne fait qu’ajouter aux éruptions et autres émissions de gaz en tous genres de la planète, laquelle a ses borborygmes, pète et rote dans l’atmosphère, comme les bovins et les humains.
valon Laurence
Oui Claude Courty, assez d’accord avec toi,
Dans ce reportage, je ne comprends pas en Quoi, ni Pourquoi on tient compte de l’alimentation des touristes ? ? ? Où qu’ils oient sur la Planète un humain mange, autant ….
Et en effet, L’humain, à 37°C, diffuse de la chaleur, et émet des gaz à effets de serre
Donc Manger le Moins possible de viande Me semble prioritaire sur les vacances
jean Grossmann
Alors que l’électricité, utilisée par le train et l’essence alimentant la voiture est lourdement taxée le kérosène, le carburant utilisé dans les avions, n’est soumis à aucune taxe. Ceci alors qu’un avion émet plus de CO2 au kilomètre passager qu’un automobiliste avec une émission qui se fait dans la haute atmosphère ce qui présente vraisemblement plus de risques vu que le gaz carbonique est un gaz plus lourd que l’air. Facteur aggravant avec une croissance exponentielle de 4,5% par an* la consommation mondiale de kérosène à usage aéronautique qui s’élevait selon l’AIE à 240 millions de tonnes de kérosène en 2008 représente déjà en 2017
sensiblement 350 millions de tonnes de kérosène et pourrait doubler en moins de 20 ans à ce rythme.
Faut-il rappeler que le Kérosène c’est 0,267 kg de CO2 par kWh produit. Si l’on taxait dès 2020 les émissions de carbone du transport aérien à 100 € la tonne comme on envisage de le faire pour la voiture les 40 milliards d’€ qui pourraient être récupérés au titre de la taxe carbone appliquée aux 400 millions de tonnes de kérosène émis dès 2020 pourraient être consacrés à la recherche mondiale et à la mise sur le marché d’ailes volantes gonflés à l’hélium et motorisées à l’énergie solaire.
La vitesse serait assurément plus faible mais le touriste après tout n’est pas très pressé et l’on pourrait assimiler les responsables politiques en charge des COP 21 22 23 24 25 26 27 a des touristes ce qui limiterait le réchauffement climatique
La vitesse serait toutefois probablement supérieure à celle des navires de croisière actuels qui polluent semble-t-il encore plus que la voiture individuelle
Balendard et le livre
» la chaleur renouvelable et la rivière » Un livre qu’il faut absolument lire pour se convaincre que l’on pourrait beaucoup progresser dans le domaine de l’énergie s’il y avait une véritable volonté de le faire
juin 2018
Claude Renaud
Jusqu’à présent, le fait de prendre l’avion est valorisant, et c’est bien là le problème !
Les gens gens sont fiers de dire qu’ils reviennent de Tokio, de Los Angeles ou de l’île Maurice.
Et avec les prix ridiculement bas offerts par les cies aériennes, pourquoi se priver?
Quand prendre l’avion sera mal vu, beaucoup de choses auront changées, mais ça n’est pas demain
la veille.
I have de dream !