Être le plus fort est-il la clé de l’évolution ? Vanessa Woods et Brian Hare, co-auteurs de « Survival of the friendliest » répondent par la négative dans cette vidéo de National Geographic. D’après eux, une espèce prospère par rapport aux autres en fonction de sa capacité à développer des rapports amicaux. Ils prennent notamment l’exemple du chien, qui a su proliférer à la différence des loups en se rapprochant des humains. Autre exemple de succès de l’évolution : nous. Woods et Hare considèrent que notre position de superprédateur s’explique par notre relative bienveillance à l’égard aux autres. Cependant, nous sommes en parallèle également capables d’une grande violence à leur égard. Ces contradictions inhérentes à l’espèce humaine questionnent, notamment dans un modèle de société où les individus sont mis en compétition. A quel moment notre bienveillance prend le pas sur notre agressivité ? Un individu gagne-t-il à prendre en considération le bien-être de son prochain ?
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2 commentaires
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Michel CERF
Vidéo inutile , quand à l’évolution il est évident quelle est fondée sur la loi du plus fort et que les loups ont perdu la bataille en étant exterminés par les humains , cet article me parait dénué de bon sens .
Méryl Pinque
Inepte !
L’espèce humaine étant précisément la plus cruelle et dénuée d’empathie.