Le « rewilding », futur de la protection de la biodiversité ?

Il y a 40 ans, aux Pays-Bas, une centaine d’herbivores ont été réintroduits sur une étendue de 5600 hectares, en liberté. C’est un exemple de « rewilding », ou « réensauvagement », qui consiste à réintroduire des espèces à l’état sauvage dans une zone naturelle.

Ce sujet questionne en Europe, qui est le continent le plus densément peuplé, selon cette vidéo d’Arte. Des experts expliquent ainsi les avantages de cette méthode de conservation de la biodiversité, qui implique d’accepter de repenser la coexistence entre les humains et la faune sauvage.

4 commentaires

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    • Yves Lanceau

    Intéressante expérience, peut-être une forme complémentaire de protection des animaux à appliquer un peu partout, avec des tours d’observations sur le pourtour pour ne pas déranger.

    • Verté Patrick

    Sans alimentation, c’est faux, suite aux protestations, ils ont dû apporter du foin. 3.000 animaux morts de faim et de froid tout de même. Un éleveur fait le centième de cela, il a les autorités sanitaires sur le dos immédiatement. https://www.rtbf.be/info/societe/detail_debat-aux-pays-bas-faut-il-laisser-les-animaux-d-une-reserve-naturelle-mourir-de-faim?id=9893471

    • Méryl Pinque

    Tel est le sens unique et véritable du beau mot d' »ensauvagement », qui vient du latin « silva », « forêt ».

    • Méryl Pinque

    Haro sur ce terme de « biodiversité ».
    Les animaux sont des personnes.
    La nature est la nature.