Des scientifiques ont étudié l’impact de la pollution de l’air par le dioxyde de soufre (SO2) au moment de la révolution industrielle sur la peintre. En passant au crible des œuvres impressionnistes de Monet et de Turner notamment, les chercheurs ont constaté dans les tableaux une diminution des constates ainsi que de la profondeur de champ. Elles se sont réduites au fur et à mesure que la concentrions de SO2 augmentaient dans l’air. Au XIXe siècle, le SO2 provient de la combustion du charbon, il est responsable de la suie et du smog. Ce qui a influencé le travail des peintes, notamment des impressionnistes, explique cette vidéo de France Culture. La pollution influence l’art, pour le meilleur et pour le pire.
A lire aussi
Méditerranée: Marseille salue la création d’une zone de contrôle des émissions d’oxyde de soufre
La pollution de l’air, véritable tue-l’amour pour les insectes, selon des chercheurs
Ecrire un commentaire