Offrez un cadeau qui fait sens pour cette fin d’année : soutenez GoodPlanet Mag’ et les projets engagés de la Fondation GoodPlanet

Les propositions de la Convention citoyenne pour le Climat en faveur des mobilités douces expliquées


Taxer plus les véhicules lourds et polluants comme les SUV ou encore proposer des prêts pour les ménages modestes pour l’achat de véhicules propres figurent parmi les 150 propositions pour une transition écologique de la Convention citoyenne pour le Climat (CCC). Son objectif est d’investir dans les mobilités moins émettrices de gaz à effet de serre comme le train et le vélo… Autant de propositions qui ont été soumises par la Convention. Le Réseau Action Climat revient sur les mesures envisagées et interroge les explications d’experts pour évaluer leur pertinence.

À lire également : Cyril Dion : « nous allons rendre les propositions des 150 incontournables »

3 commentaires

Ecrire un commentaire

    • Balendard

    Il y a incontestablement du bon dans ce que propose le CCC

    l’idée du politique français qui était d’instaurer une taxe pollueur payeur pour le transport routier comme cela existe déjà en Suisse ou en Allemagne ça va tu es en train de prendre place
    . Même remarque avec l’ONU en ce qui concerne l’avion qui n’a pas su mettre en place

    une politique fiscale cohérente avec l’écotaxe serait la bienvenue

    – tout d’abord avec les camions en ne mettant pas la charrue avant les boeufs ou pour être plus clair en mettant en place tous ces portiques devenus inutiles dans le but de taxer la gasoil avant de construire des camions à motorisation verte. Ceci ayant une conséquence : en France, c’est le tout camion qui règne pour le transport de marchandises

    – le deuxième l’ONU en s’obstinant à ne pas
    taxer le kérosène alors que son pur était celui de mettre en place une fiscalité internationale pour les vols longs entre pays

    • Balendard

    ce n’est pas facile de mettre en forme un texte aussi important sur un petit écran de téléphone portable aussi je reviens à la charge

    Il y a incontestablement du bon dans ce que propose le CCC

    l’idée du politique français qui était d’instaurer une taxe pollueur payeur pour le transport routier comme cela existe déjà en Suisse ou en Allemagne est-elle en train de prendre place sous une autre forme grâce au CCC?

    il serait temps aussi de réaliser que
    dans ce domaine l’ONU n’a rien fait alors que son rôle aurait pu être celui de mettre en place une fiscalité internationale cohérente en ce qui concerne l’avion et l’écotaxe.

    Et ceci peut-être pour ces deux postes de la façon suivante :

    – tout d’abord avec les camions en ne mettant pas la charrue avant les boeufs ou pour être plus clair en construisant des camions à motorisation verte au lieu de mettre en marche tous ces portiques et leurs capteurs inestéthiques initialement prévus dans le but de taxer la gasoil et qui deviendrai totalement et définitivement inutiles. Ceci avec une conséquence : en ne faisant pas les choses dans le bon ordre c’est le tout camion qui règne en France pour le transport de marchandises

    – oui pour le deuxième poste en tentant de convaincre l’ONU que son rôle pourrait être celui de mettre en place une fiscalité internationale consistant à taxer le kérosène pour les vols longs entre pays.
    Une mesure qui aurait d’autant plus sa place actuellement avec le coronavirus quelle aurait pour effet de réduire la mobilité au niveau des vols internationaux et les risques que cette mobilité comporte sur le plan sanitaire

    • Fabrice Thibaut

    Bravo pour les propositions mais le mal est déjà fait il y a actuellement dans l’air des particules de carbone qui ont une équivalence de 3 à 4 degrés de réchauffement et même si ces mesures sont appliquées elles n’auront qu’un impact sur les 5 à 6 degrés qui se pressent derrière. Il faut donc d’abord arriver à capter cette quantité de carbone déjà présente et le seul moyen efficace à ma connaissance est de planter et de végétaliser où que cela soit possible (pas sur les terres cultivables par ex.). C’est là une logique simple et elle n’est inexplicablement pas répercutée, même à échelle mondiale car avec 3 à 4 degrés de réchauffement l’être humain est en grand danger. Dites-moi si je me trompe ?

2024 en France ou le visage humide du changement climatique

Lire l'article