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Nos villes et nos intérieurs à bout de souffle ?

L’émission Terra Terre consacré à l’écologie et aux solutions de Public Sénat revient sur la lutte contre toutes les formes de pollutions de l’air dans les villes et les logements. Citoyens, entrepreneurs, élus agissent au quotidien pour réduire la pollution de l’air et ainsi améliorer la santé et la vie en commun.

2 commentaires

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    • catala

    En Belgique , la ville de Bruxelles ne respecte pas les normes Européennes , ni les normes Européennes pour la pollution d e l’air; Les politiciens,et autres nombreux décideurs ne prennent pas
    depuis des années, les mesures qui s’imposent et n’investissent pas assez dans les mobilités douces : transports en communs rapides et connectés avec la grande périphérie de Bruxelles et pistes cyclables interne à Bruxelles mais surtout connectées aux périphéries! A leurs décharges la région Flamande qui entoure Bruxelles paralyse sciemment la capitale en n’effectuant aucune amélioration des mobilité douces vers le Sud du Pays ( ex les RER vers Namur , Charleroi.. ) ne sont toujours pas opérationnel depuis 20 ans alors que ceux vers les villes flamandes( Nord du pays) le sont depuis quelques années déjà! Peu de transports en communes en site propre ( trams , bus) et de pistes cyclables correctes et efficaces relient Bruxelles à travers les communes flamandes aux communes du Brabant Wallon situées pourtant à moins de 20 kms de Bruxelles. Un paradoxe alors que Les Flamands ont choisi Bruxelles comme capitale de la région Flamande. Des centaines de milliers de navetteurs sont donc obligés de converger en voiture vers Bruxelles chaque jour polluant la ville et l’ensemble de sa périphérie. Le Ring de Bruxelles est ainsi constamment paralysé bloquant le trafic international qui traverse le centre de l’Europe!

    • Claude Renaud

    Et comme d’habitude, quand il s’agit de pollution de l’air, le trafic aérien est complètement
    dédouané. Pas un mot sur l’avion. Le trafic aérien brûle des millions de tonnes de kérosène, mais,
    miracle, ça ne pollue pas.
    Si nous continuons à vouloir absolument développer le tourisme, donc le trafic aérien, la lutte contre
    la pollution de l’air sera sans effet. 4 milliards de passagers à l’année actuellement et 8 milliards dans
    15 ans. Si ces chiffres n’interpellent pas nos dirigeants, c’est à désespérer. La fabrication des masques
    est une filière qui a de l’avenir. Problème : nos dirigeants prennent l’avion comme d’autres l’autobus.
    Une information : L’Aéroport Charles de Gaule, à lui tout seul, pollue autant que le périphérique
    parisien, mais ne le répétez pas !