Le traité sur l’Antarctique, adopté en 1959 et revisité à l’occasion des Réunions consultatives (RCTA), établit des principes forts pour la protection du continent : interdiction des activités militaires, du dépôt de déchets nucléaires et des activités d’extraction des ressources minérales. Le tourisme y est aussi scrupuleusement régulé, bien qu’il soit en augmentation régulière. De plus, le Protocole de Madrid sur la protection de l’environnement en Antarctique signé en 1991 est crucial et n’a pas de date d’expiration. Dans cette vidéo du blob, l’extra media, Anne Choquet, enseignante-chercheure en droit revient sur l’ensemble de ces enjeux.
Pourquoi les grandes puissances rêvent-elles de l’Antarctique ?
Un commentaire
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Guy J.J.P. Lafond
Merci.
La coopération internationale en Antarctique: un bel exemple de coutume internationale! Bravo.
Et ça tombe bien, les avocats de culture anglophone adorent le « common law ». Nous pourrons donc leur rappeler gentiment et à intervalles réguliers que cela a toujours été la coutume dans l’histoire de l’humanité d’être prudent avec notre Maison.
t: @GuyLafond @FamilleLafond
À nos vélos, à nos bottes d’expéditions, à nos vêtements et équipement de plein air! Car les saisons comptent et car les enfants savent aussi compter.