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Sauver la planète, oui mais comment ?

Dans ce reportage de 26 minutes, Arte nous explique comment dompter notre nature humaine pour sauver la planète. Tri sélectif, aliments de saison, vélo, énergies renouvelables: nous sommes de plus en plus conscients des actes quotidiens à entreprendre pour réduire nos émissions de CO². Et pourtant, nos habitudes, ou plutôt nos schéma comportementaux cognitifs, peinent à changer. Arte nous montre comment adopter des gestes durables pour nous et pour la planète.

Ce reportage est visible jusqu’au 13 Octobre.

3 commentaires

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    • Claude Renaud

    Pourquoi s’entête-t-on à vouloir sauver la Planète ? Que risque-t-elle ? Elle en a vu d’autres,
    depuis les 4,5 milliards d’années qu’elle tourne.
    Sauver le Climat. On arrive encore à le dire. Mais sauver l’Humanité, c’est très difficile à dire.
    Et pourtant ! C’est de cela qu’il s’agit. Nous sauver nous, sauver notre espèce et sauver le vivant.
    Quant à la Planète, ça n’est pas son problème !!!

  • OUI Mr Renaud la terre va nécessairement nous survivre et cela est la raison pour laquelle nous devrions plutôt nous préoccuper de nous même.

    De Paris et de sa proche banlieue par exemple. Une région qui n’a pas encore perçue que l’eau est la matière dans laquelle elle a intérêt à puiser l’energie thermique renouvelable pour chauffer l’habitat. Il faut dire à sa décharge que le mot aquathermie n’est pas au dictionnaire.

    Et ceci pour de multiples raisons et malgré le dérangement temporaire lors de la mise en place des tuyauteries. Ceci aussi en puisant l’energie thermique à la fois dans l’eau géothermale et dans l’eau de ruissellement plutôt que dans l’air et le sol .

    Ça va peut-être couter cher mais vu le prix actuel du m2 habitable avenue des champs élysées de 40 000 € voire le double dans les cas extrême, Paris devrait pouvoir se payer ça

    • Meryl Pinque

    Ce sont les animaux nonhumains, les premières victimes de nos crimes, qui doivent être sauvés.
    Pas nous, qui ne méritons qu’une chose : la disparition.

    Notre espèce a suffisamment fait la preuve de son inanité (sans parler du tragique de la condition humaine, qui fait que nous sommes la seule espèce à ne pas éprouver du bonheur à vivre) pour qu’elle ait un peu d’humilité et songe à quitter la scène.

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